Et si vous changiez de braquet

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On peut facilement être  la victime de ce qu’on a voulu trop fort…

  • Vous avez voulu avoir de bons petits soldats qui exécutent sans trop se poser de question, et un jour vous vous plaignez d’être entouré de fantômes,
  • Vous avez voulu qu’on vous craigne, et vous n’avez personne pour vous dire la vérité car on pense autour de vous  que vous êtes susceptible de mal la prendre,
  • Vous avez voulu tout ramener au mesurable, et vous n’avez plus que ce qui s’achète,
  • Vous avez voulu que la moindre décision passe par vous, et vous vous retrouvez congestionné de tout ce que les gens ont peur d’arbitrer eux-mêmes,
  • Vous avez voulu vous rassurer derrière un système de reporting rigide, et vous vous retrouvez avec des processus contre-performants  qui  ne créent plus de valeur,

Vous avez voulu faire des économies en contrôlant tout et vous vous retrouvez avec des couts cachés improductifs et pénalisants.

Et si vous changiez de braquet… la côte vous paraîtrait moins dure ou pour citer Pierre Dac « Il n’est pas intelligent de monter une côte à vélo, il suffit de le retourner et vous la descendrez ».

  • Et si désormais vous vouliez une équipe qui contribue naturellement à la performance sans avoir besoin de la solliciter,
  • Et si vous vouliez libérer les potentiels en faisant en sorte que les choses se fassent avec facilité,
  • Et si vous vouliez que la progression collective des compétences conduise à l’autonomie des opérateurs,
  • Et si vous vouliez que votre rôle soit avant tout d’enlever les petits cailloux dans les chaussures et de faire en sorte que chacun soit bien chaussé,

Alors la pente se transformerait progressivement en descente, vous trouveriez vos collaborateurs formidables et ils vous le rendraient bien… en vous laissant le temps de faire ce que pour quoi ils vous paient… leur garantir un avenir prometteur et faire entrer le dehors dans l’entreprise.